Révélations 2023 :

les armes bio-nanoélectromagnétiques

 

Un texte de Frédéric Laroche et Özler Atalay Yükseloğlu

(Inspiré des conférences de Frédéric Laroche / Bestofcomputer)

 

Publié dans le magazine papier francophone Top Secret n° 120 du 19/07/2023

 

Mise en ligne en version améliorée du 09/11/2023

 

ENGLISH version of this page : https://tinyurl.com/4ukb5m2b

 

 

Introduction

Nous, le peuple, sommes victimes depuis très longtemps, de la part de notre ennemi de toujours, le duo Gouvernement Fantôme (qui planifie le contrôle) / État Profond (qui pratique le contrôle), d'une Psy Op symétrique si ingénieuse qu'on a du mal à comprendre comment s’opère son emprise.

 

Cette Psy Op consiste dans un premier temps à faire surestimer par la population le pouvoir de son ennemi et la puissance de ses armes, de sorte qu'il serait inutile de développer certaines d’entre elles pour obtenir l’effet escompté : un sentiment de peur et d’impuissance débouchant sur un abandon par forfait avant même de commencer à lui résister.

 

Mais comme cette Psy Op est symétrique, elle marche dans les deux sens. Dans un deuxième temps, elle tend aussi à faire croire au peuple qu'il serait illusoire et stupide de surestimer l’ennemi et ses armes. C’est le piège qui se referme alors : sous-estimer son ennemi, parce qu'on devient convaincu qu'il ne peut pas être capable d'autant de machiavélisme et de telles avancées technologiques.

 

C’est justement cela que l’ennemi essaie d’obtenir du peuple à la fin, tout en donnant l’impression que cette idée vient des gens eux-mêmes par effet de Judo sur eux.

 

La deuxième partie de cette Psy Op a endormi leur sens critique et leur instinct de survie, et c'est là que l’ennemi gagne vraiment, par échec et mat.

 

Le but de cet article est de montrer l’ampleur de l’arsenal qui a été développé contre les peuples, arsenal disséminé et dissimulé depuis plus de 30 ans dans toutes les infrastructures autour de nous.

 

Il est important de comprendre à présent que ce n’est ni une surestimation, ni une sous-estimation de ce qu'ils peuvent nous faire dorénavant. En fait, c'est exactement l’état de la situation présente, ni plus ni moins.

 

En réponse au scepticisme qui persisterait après cela, il conviendrait de dire ceci : « d’y croire ou pas, telle n’est pas la question, mais de savoir ce dont il s’agit avant qu’il ne soit trop tard, car une croyance ne changera en rien l’existence de cette réalité, elle ne nous en protégera pas et sera un obstacle à la manifestation de la vérité. »

 

La guerre transhumaniste contre les peuples.

 

Pas d’armes électromagnétiques ?

Pourtant…

Au cœur des projets de contrôle et de domination actuels se trouve l’utilisation d'armes frappées par le secret défense dont le fonctionnement repose sur les ondes électromagnétiques. En voyant le détournement de celles-ci, des initiés repentis, ou encore des experts, tels que les Dr Nick Begich, Dr Barrie Trower, Dr Robert Duncan, Dr Rauni Kilde, Dr John Hall, et Dr James Giordano, ont décidé de les exposer au grand jour à l’aide parfois de journalistes courageux. Même si de nombreux documents officiels attestent de l’existence de ces armes, la culture populaire les tourne en dérision et, au mieux, les classent comme théorie de la conspiration.

 

Pourtant… La première utilisation reconnue de ces armes date de 1953, à Moscou, quand l’URSS attaquait l’ambassade américaine (cf. le « signal de Moscou »). Les Américains ont laissé faire jusqu’en 1976 pour étudier les effets sur la santé de leur personnel (leucémie, cancer, décès). Ils ont gardé l’affaire secrète durant deux décennies afin de préserver leur propre programme du nom de Pandora, programme lancé dans le cadre de la course à l’armement électromagnétique entre les deux puissances.

 

Six experts scientifiques et dénonciateurs des armes électromagnétiques : Drs Nick Begich, Barrie Trower, Robert Duncan, Rauni Kilde, John Hall, et James Giordano.

 

Pourtant… Dans un rapport du 14 Janvier 1999, sur l'environnement, la sécurité et la politique étrangère A4-0005/99, qui a donné lieu à la résolution du 28 janvier 1999, le parlement européen, à l’article 12, demande une interdiction des armes à ondes basées sur la connaissance du cerveau humain pour éviter toute « manipulation de l'homme ». De plus, à l’article 11, il considère que les systèmes HAARP constituent une menace pour l'environnement et la santé et nous invite à policer les États qui en sont propriétaires.

 

Le chercheur physicien Nick Begich qui avait été consulté par les parlementaires au sujet des capacités de modification du climat par HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program – programme de recherche aurorale active de haute fréquence) explique par ailleurs que celui-ci est aussi capable d’effets neurologiques et que c’est même l’enjeu majeur de son utilisation.

 

Ces effets sont rendus possible par la similarité des fréquences extrêmement basses (ELF) produites par HAARP et celles du cerveau humain et de son système nerveux ainsi que des résonances de Schumann de la Terre, ce qui permet d’impacter tout le vivant. Ce qui est le but inavoué des militaires qui veulent un contrôle total de la biosphère au 21e siècle.

 

Il est cependant à déplorer que cette résolution n’ait jamais été suivie d’effet puisqu’aucun des pays membres de l’UE ne l’a adoptée en tant que loi.

 

Pourtant… Dans un document de travail de 1997/2000, le panel STOA (Science and Technological Options Assessment – évaluation des options technologiques et scientifiques) et la Fondation Omega rapportent au parlement européen les résultats de recherches sur les différentes technologies de contrôle des foules à disposition des forces de l’ordre (ou une évaluation des technologies pour le contrôle politique) et en particulier à l’aide d’armes non létales électromagnétiques.

 

Pourtant… Il existe, dans trois États américains, des lois contre le harcèlement par armes électromagnétiques.

 

Les États concernés sont le Michigan (2003), le Maine (2005) et le Massachusetts (2004).

 

Extrait d’un de ces textes :

 

 « Nul ne doit posséder un appareil portatif ou une arme à partir duquel un courant électrique, une impulsion, une onde ou un faisceau peut être dirigé, lequel, courant, impulsion, onde ou faisceau est conçu pour neutraliser temporairement, blesser ou tuer… »

 

Il est à noter cependant que ces lois ne s’appliquent qu’aux citoyens et non aux États et à leurs agences.

 

Aux USA, les gens sont attaqués avec ces armes électromagnétiques par des sous-traitants d’agences gouvernementales, des militaires, de la police, du FBI, et des Fusion Centers (conglomérats centralisés des précédents).

 

Ambassade des Etats-Unis à la Havane.

 

Pourtant… Le plus récent exemple d’utilisation reconnue de ces armes date de 2016-2022 quand des agents de la CIA et des ambassadeurs américains et canadiens ont été attaqués à la Havane à Cuba (2016-2017) puis ensuite (2017-2022) aussi en Chine, en Allemagne, en France et au Vietnam où l’équipe de Kamala Harris a été visée. Le « Syndrome de la Havane » résultant de ces attaques consistait en des troubles auditifs, visuels, et neurologiques comme des migraines, fatigues et malaises. D’abord attribué à tort à des armes « soniques » par les médias mainstream, ceux-ci ont fini par admettre, après la sortie du rapport de l’académie américaine des sciences et de médecine en 2020, qu’il s’agissait bien d’armes à micro-ondes pulsées de haute énergie.

 

Puisque ces attaques sont apparues sous l’administration Trump, il est possible que ce soit elle qui les ait perpétrées contre l’État profond, pour lui signifier qu’elle aussi maitrisait et avait accès à ses armes électromagnétiques, pour le dissuader de s’en servir contre elle, pour forcer les médias à en parler, et pour préparer leur prochaine révélation et leur possible démantèlement.

 

En octobre 2021, Joe Biden fait promulguer la loi Havana Act qui va faciliter la prise en charge de compensations financières pour les victimes d’attaques par armes électromagnétiques (pour l’instant réservée aux diplomates américains, mais qui s’ouvrira sans doute au reste des citoyens plus tard, le temps nécessaire de la prise de conscience collective de l’ampleur de ces problèmes qui touchent en réalité tout le monde).

 

Pourtant… Le Chili considère que la réalité de l’existence des armes électromagnétiques et de leurs menaces et abus avérés est maintenant devenue telle qu’il devient urgent de mettre en place des mécanismes de défense dans la loi. Un amendement constitutionnel a donc été voté en octobre 2021 concernant les neuro-droits pour protéger les informations cérébrales des citoyens contre les invasions, vols et manipulations qui peuvent découler des utilisations criminelles de telles armes et en définissant ces informations comme étant leur bien privé propre, inaliénable et insaisissable.

 

Système ADS - Police de Santa Ana.

 

Les applications civiles

-          Le système ADS (Active Denial System – système de blocage actif) est le premier exemple d’application civile non dissimulée de ces armes, développé dans les années 2000.

 

Ces armes envoient à des centaines de mètres et en traversant les murs des faisceaux d’ondes millimétriques de fréquences à 95 GHz, qui ne sont donc pas des micro-ondes (mais qui sont de mêmes fréquences que les ondes de la 5G). Elles peuvent causer des effets thermiques comme des sensations de brûlures ou de décharges sur la peau des personnes ciblées.

 

Elles ont été utilisées par les militaires lors de conflits armées, comme au Ladakh en 2020 où les militaires chinois les ont utilisées contre des militaires indiens pour les repousser de ce territoire (les soldats se plaignaient de malaises, de nausées et de crises de vomissement insupportables). La police les a aussi utilisées pour contrôler et disperser les foules lors de manifestations de civils, comme aux USA, en Grande Bretagne, à Hong Kong ces dernières années ou en Australie en 2022 sur des manifestants anti-mesures sanitaires (les victimes se plaignaient de brûlures, lèvres cloquées, maux de tête et d’épuisement).

 

-          Les systèmes de Stimulation Electromagnétique du Cerveau sont le deuxième exemple d’application civile non dissimulée de ces armes.

 

Ce sont des procédés médicaux ayant des effets neurologiques simples, ne permettant pas des effets complexes comme la prise de contrôle du corps et du cerveau.

 

Ces effets neurologiques sont utilisés dans des hôpitaux aux USA, Canada et Pologne pour guérir des patients atteints de troubles, maladies cérébrales ou psychiatriques (comme la dépression, l’anorexie, l’épilepsie, le Parkinson, la dystonie, le trouble obsessionnel compulsif, l’Alzheimer…) en envoyant des impulsions électriques, des fluctuations de champs magnétiques ou des ondes électromagnétiques particulières dans leurs cerveaux ou leurs nerfs (nerf vague, …) selon les procédés suivants et qui permettent de baisser ou supprimer les symptômes de la maladie de façon plus ou moins durable.

 

Exemples de ces procédés : Deep Brain Stimulation (DBS), Repetitive Transcranial Magnetic Stimulation (rTMS), Vagus Nerve Stimulation (VNS), Magnetic Seizure Therapy (MST), Trigeminal Nerve Stimulation (TNS), Transcranial Random Noise Stimulation (tRNS), Transcranial Direct Current Stimulation (tDCS), Transcranial Alternating Current Stimulation (tACS).

 

Ecosystème des armes électromagnétiques.

 

Un écosystème complet

Les dix technologies suivantes sont disséminées et dissimulées dans toutes nos infrastructures, lesquelles ont toutes été militarisées à notre insu depuis au moins trente ans (grâce entre autres aux failles de sécurité et portes dérobées laissées exprès sans correctifs dans tous les matériels et logiciels).

 

Elles composent un écosystème et sont faites pour fonctionner ensemble, formant alors un tout bien plus puissant que chacune de leurs parties.

 

Cet écosystème constitue un exemple du Full Spectrum Dominance des militaires (domination par tout le spectre, de toutes les fréquences et de toutes les vibrations, qu’elles soient électromagnétiques, mécaniques, ultra-soniques ou infra-soniques, etc…).

 

Système HAARP en Alaska.

 

1/ Les différentes bases d’antennes de type HAARP se trouvent dans plusieurs pays sur Terre (Alaska, Russie, Chine, Brésil, Inde, Australie, Norvège, Grande Bretagne, etc…) et sur plusieurs océans avec des plateformes flottantes mobiles remorquables ainsi qu'au fond de certains d'entre eux (car leurs ondes peuvent traverser l’eau puisqu’elles sont faites aussi pour communiquer avec les sous-marins). Elles font partie de cet écosystème d’armes électromagnétiques, pour le contrôle du climat et des êtres humains par leurs corps et leurs cerveaux.

 

Cela est possible grâce à leurs ondes de très basses fréquences (ELF) du même type que celles du cerveau, et grâce à la création de lentilles ionosphériques « miroirs » sur lesquels sont projetés des faisceaux maser (laser invisible de micro-ondes) depuis le sol permettant d’atteindre n’importe quelle cible sur le globe au-delà de l’horizon.

 

Les radars de type NexRad qui sont disséminés sur tout le territoire américain et d’autres pays (sous d’autres noms) et qui aident avec HAARP à manipuler, chauffer et déplacer les masses d’air et de vapeur d’eau en font aussi partie pour le contrôle du climat (par effets thermiques et pressions électrostatiques des micro-ondes sur les molécules d’eau).

 

2/ Les satellites militaires comme ceux de suivi (GPS), ceux de relais vers les bases militaires ou vers les antennes mobiles (AEHF, WGS, DSCS) et ceux équipés du système Vircator responsable du Syndrome de la Havane, font également partie de cet écosystème. Ils permettent de localiser, surveiller, manipuler ou torturer n’importe quelle cible dans le monde où qu’elle soit. De plus n’importe quel satellite pourrait être utilisé comme arme électromagnétique en utilisant les déflecteurs de ses paraboles de télécommunication réorientées très précisément et en y envoyant des faisceaux maser depuis le sol et qui y seront réfléchis vers la Terre par rebond vers une zone ou une cible voulue.

 

3/ Les drones militaires de type MQ-1 Predator ou RQ-7 Shadow en font aussi partie. Ils ont une envergure de sept mètres, une portée de plus d’un Km, une autonomie de 15 à 18 heures et une charge utile de 30 à 60 Kg. Ils servent à faire des attaques discrètes par micro-ondes directement sur la population civile quand les ondes des antennes relais mobiles ou celles des satellites passent mal, ou quand il y a impossibilité d’installer et de cacher du matériel de ciblage à proximité de la cible.

 

Mât d’antennes 5G.

 

4/ Toutes les antennes relais mobile 2G/3G/4G en font aussi partie. Mais surtout la 5G, déployée massivement envers et contre tous dès 2020 (après des sites pilotes dont Wuhan).

 

Selon Mark Steele, ancien expert en armements britannique, la 5G n’est ni un système de télécommunications, ni une simple évolution de la 4G. Il s’agit selon lui d’une arme issue de systèmes militaires fonctionnant en ondes millimétriques à l’instar des radars de surveillance capable de traverser les murs, utilisés pour attaquer l’ennemi. Il en donne les preuves suivantes : très large bande de fréquences comprises entre 500 MHz et 300 GHz ; latence proche de zéro (facilitant la surveillance instantanée permanente, les imageries radars de nos intérieurs reconstitués en 3D pour mieux les cartographier, la reconnaissance faciale et les véhicules autonomes...) ; condensateurs utilisés à 150 V au lieu de 5 V (pour attaquer et blesser et non communiquer) ; antennes massivement MIMO (centaines de mini antennes ciblant par Beam Forming – formation de faisceau) et à balayage électronique (ciblages sur 180°) ; extrémités de ces antennes recouvertes de lentilles optiques concaves de haut gain (pour un ciblage précis et puissant) ; refroidissement des hautes températures ainsi dégagées par des réservoirs d'oxygène liquide à proximité des mâts ; les écorces des arbres brûlent et se dessèchent face à elles ; densité « mortelle » d'antennes tous les 200 mètres car les antennes ont une trop courte portée, ce qui aurait dû les disqualifier en tant que système de télécommunication.

 

Elles pourraient en effet provoquer des asphyxies (en dissociant les molécules de dioxygène en deux dans les poumons avec des faisceaux d’ondes à 60 GHz) et des symptômes ou des maladies en resynthétisant à distance des ADN/ARN viraux par les biocodes envoyés de leurs fréquences caractéristiques (cf. Pr Luc Montagnier).

 

Notons que les arbres constituent un obstacle à la propagation des ondes 5G en ville, d'où leur abattage systématique sous de faux prétextes.

 

Et tout ceci rentre évidemment dans le cadre de ce que l’on appelle les Smart Cities (villes intelligentes) dont s’inspire la nouvelle ville de Neom expérimentée actuellement en Arabie Saoudite pour s’en servir de modèle à appliquer partout ensuite.

 

Des évolutions de la 5G sont déjà prévues : la 6G qui va utiliser des fréquences de 100 GHZ à 3 THz, et la 7G qui va aller au-delà.

 

Mark Steele, expert 5G.

 

5/ Le système de télécommunications PMR de la police/gendarmerie/armée française, européenne et mondiale depuis 2007, s’appelle TETRA (Terrestrial Trunked Radio - radio terrestre à ressources partagées). Il fait aussi partie de cet écosystème dans lequel nous baignons. Il a été inventé par le Complexe Militaro-Industriel pour contrôler mentalement ces corps de métier (forces de l’ordre et armée).

 

En effet, les membres de ces corporations étant au cœur de nos sociétés, ceux qui les contrôlent nous contrôlent tous.

 

Dès les premières années de mise en place du système TETRA, il y a eu de nombreuses démissions de policiers/gendarmes/militaires en France. Les hommes sont tombés malades, beaucoup sont tombés en dépression.

 

Quasiment tous se sont plaints de céphalées, d’acouphènes soudains, inexpliqués et incessants. Beaucoup ont souffert de changements d’humeurs et de comportements, ne se reconnaissant plus.  Ils perdaient leur empathie envers les civils, devenaient trop obéissants à leur hiérarchie et abattaient toujours plus de boulot sans en ressentir la fatigue.

 

6/ Le Wi-Fi généralisé, le Bluetooth, les Smartphones et les Box en font aussi partie.

 

La fréquence du Wi-Fi la plus répandue est de 2,4 GHz. Cette fréquence peut déclencher des maladies telles que le diabète (pas les autres fréquences).

 

Le Bluetooth a lui aussi été réglé sur cette même fréquence de 2,4 GHz et participe à produire les mêmes maladies.

 

Les Smartphones et les Box participent également à cet écosystème et peuvent être transformés en armes contre leurs utilisateurs ou contre les personnes à proximité.

 

7/ Le Linky n’est pas seulement un compteur communiquant. Du fait des ondes de basses fréquences (de 1 Hz à 50 Hz, et aussi de 350 Hz à 75/80 KHz) similaires à celles du cerveau qu’il répand à travers les câblages électriques non blindés de nos maisons, du fait du courant porteur de ligne (CPL) qu’il utilise pour faire ses mesures et relevés de consommation, du fait de sa carte SIM pour transférer les données sur le réseau GSM en 2G/3G, il fait lui aussi partie de l’écosystème. On peut dire du Linky que c’est de l’électricité sale de par son rayonnement. Il a été constaté une augmentation des symptômes d’électrosensibilité. Le Linky est un parfait outil de ciblage électromagnétique permettant le contrôle mental. Il est à noter cependant que les ciblages comme ceux faits par Linky pourraient se faire par tout autre compteur électrique. Cela pourrait en effet être fait par armes à énergie conduite (et non dirigée) au travers de toutes installations électriques et de leurs câbles dans nos habitations.

 

8/ Les lampes à LED (de lampadaire de rue ou d’intérieur) émettent une lumière artificielle en basses fréquences pulsées dissociées des 50 Hz du secteur capables d’interférer avec le cerveau humain, perturbant notamment les rythmes du sommeil.

 

Elles participent donc à cet écosystème d’armes électromagnétiques permettant le contrôle mental.

 

Les LED de couleur bleue sont les plus nocives : elles tuent les insectes pollinisateurs et les cellules de la rétine humaine. Les LED de couleur blanche contiennent 25 % de couleur bleue. Les LED utilisées par les militaires sur leurs lunettes de visée sont vertes (quasi inoffensives). Les écrans à LED ou LCD participent à l’écosystème avec leurs fréquences de balayage et de pulsations contenant de la lumière bleue.

 

Les réseaux Li-Fi sont comme le Wi-Fi, mais avec les fréquences pulsées des lampes à LED faites de lumière visible (au lieu de micro-ondes). Cela prouve que l’on peut véhiculer des informations par ces lampes, et donc aussi manipuler les fréquences de nos cerveaux en passant par les yeux et les nerfs optiques.

 

Il à noter par ailleurs que les nouveaux lampadaires à LED de rue déployés récemment partout sont souvent couplés à des mini antennes ou relais 5G qui s’y trouvent cachés (les antennes relais mobile ne sont donc pas les seules coupables dans l’histoire de la 5G).

 

9/ Les armes à énergie dirigée (Directed Energy Weapons – DEW) font aussi partie de cet écosystème d’armes électromagnétiques.

 

Il en existe deux sortes : celles qui permettent les attaques sur le vivant et celles qui servent aux destructions matérielles.

 

Celles qui permettent les attaques sur le vivant envoient des rayons d’énergie dirigée d’origine électromagnétique cohérente de type Maser (micro-ondes ou milli-ondes invisibles) qui sont utilisés comme « projectiles à photons », invisibles, ne laissant aucune trace (sans douilles), pour pénétrer les corps des individus ciblés, afin de les manipuler, torturer, brûler, blesser ou tuer. L’intensité de cette énergie est de faible à moyenne. Elle est suffisamment forte pour pénétrer à travers les murs mais suffisamment faible pour passer inaperçue (sauf aux yeux et à la conscience de la personne ciblée qui sera seule à se rendre compte de leurs effets d’origine extérieure sur elle).

 

Les individus ciblés peuvent donc être attaqués par trois types d’armes électromagnétiques : celles qui procèdent par rayonnements diffus sur une grande surface (à l’aide de leurs empreintes cérébrales ou de leurs fréquences de résonance ADN, pour ne cibler qu’elles parmi d’autres, comme expliqué plus loin), celles qui procèdent par faisceaux courbes grâce au Beam Forming (seule la cible est atteinte), et celles qui procèdent par rayons droits de Masers d’énergie dirigée (seule la cible est atteinte).

 

Les armes qui servent aux destructions matérielles envoient des rayons d’énergie dirigée d’origine électromagnétique cohérente de type Maser (allant des micro-ondes aux rayons X ou gamma invisibles) qui concentrent une énergie phénoménale (en un ou plusieurs rayons) qui est telle qu’elle peut produire une « vaporisation/pulvérisation » par fusion nucléaire finissant en du « feu plasmatique » de toute matière qui en est la cible, et cela y compris à de très grandes distances.

 

Les tirs d’énergie peuvent être faits depuis l’espace, depuis des avions militaires ou depuis le sol. Dans ce dernier cas, les tirs peuvent rester au niveau du sol, ou être envoyés vers des lentilles ionosphériques miroirs, créées dans l’ionosphère par les antennes de type HAARP, pour ensuite y rebondir et retourner en tout point sur Terre, même au-delà de l’horizon.

 

10/ Le détecteur à neutrinos Ice Cube en Antarctique fait aussi partie de cet écosystème d’armes électromagnétiques.

 

Officiellement, il ne sert qu’à détecter les neutrinos, mais en réalité, il permet aussi d’émettre à la fois des ondes électromagnétiques ELF et des Masers ou des Lasers d’énergie dirigée surpuissants.

 

Il a un fonctionnement qui combine ceux de HAARP et des armes à énergie dirigée.

 

Eric Hecker, ancien marine et contractant de Raytheon Défense USA (au poste de pompier sur une base de l'Antarctique), en témoigne le 12 juin 2023 : « En 2010, j'ai été sélectionné pour descendre à la station du pôle Sud en Antarctique. Il s'agit d'une plate-forme d'armes à énergie dirigée à multiples facettes et un générateur de tremblements de terre. »

 

Il parle des armes de guerre non conventionnelles dont il a été témoin au cours de sa carrière comme les armes à énergie dirigée, la technologie V2K, et celles qui font le Syndrome de la Havane.

 

« Je détenais physiquement la clé qui pouvait ouvrir chaque porte de l'installation, j'avais un accès complet à tous les compartiments qu'ils fabriquent. [...] Il existe des technologies à la station du pôle Sud que les gens ne peuvent même pas envisager et qui existent sur cette planète. Les systèmes d'armes à énergie dirigée, c'est quelque chose que les gens doivent ajouter rapidement à leur vocabulaire. [...] C'est le plus grand télescope du monde (le détecteur à neutrinos Ice Cube), et maintenant, parce que nous avons prouvé qu'il peut transmettre, c'est le plus grand système d'armes à énergie dirigée au monde, il est responsable des tremblements de terre à Christchurch, Nouvelle Zélande [du 22/02/2011]. »

 

11/ Les armes à énergie conductive font aussi partie de cet écosystème d’armes électromagnétiques.

 

Les armes à énergie conductive consistent en des appareils électriques ou électroniques capables de tirs de courants électriques, ayant des fréquences dissociées des 50 Hz du secteur, émis depuis une source électrique ou électromagnétique, directement sur une cible vivante ou matérielle, en parcourant un conducteur électrique, se trouvant entre la source et la cible, et donc sans besoin d’utiliser d’ondes électromagnétiques pour se déplacer.

 

Ce conducteur peut être un des nombreux câbles physiques faisant partie de nos installations électriques (220 V, moyennes tensions, …), ou il peut s’agir d’un « câble virtuel » constitué d’un faisceau de plasma, qui est conducteur de ce courant émis, et qui peut être créé dans l’espace, entre la source et la cible, suite à des tirs de lasers ou d’armes à énergie dirigée, qui y sont émis en premier, et qui précèdent les courants électriques qui passeront dedans, de la même façon qu’est émise et conduite la foudre, depuis le ciel jusqu’au sol.

 

Les armes à énergie dirigées pourraient donc être utilisées conjointement aux armes à énergie conductive, en étant les précurseurs de ces dernières.

 

La façon d’atteindre une cible serait soit par contact direct avec elle, soit par rayonnements indirects de ces courants dans ces câbles autour d’elle, grâce à l’induction magnétique et à son effet inverse, couplés ensembles.

 

Ces armes semblent être utilisées soit à de très basses fréquences (autour de quelques KHz, et en-dessous de 1 MHz), soit à de très hautes fréquences (en THz), et de façon pulsée.

 

Il se pourrait que ces armes ne puissent agir au-delà de dix à quinze kilomètres autour de la cible à partir de leur source, en passant par les maillages du réseau électrique où celle-ci se trouve, et que leurs sources soient extrêmement bien cachées dans ces infrastructures, et quasi indétectables.

 

Il se pourrait aussi que ces armes soient les plus secrètes, les plus dangereuses, les plus difficiles à trouver, prouver, et contrer, et les plus utilisées contre les populations à leur insu, parmi toutes les armes de l’écosystème présenté ici.

 

Le rôle des Chemtrails

Les Chemtrails participent aussi à cet ensemble. Ce sont les épandages « chimiques » dans le ciel formant des quadrillages blancs qui persistent toute la journée en s’étalant (contrairement aux Contrails issus de la condensation naturelle et qui ne durent que quelques secondes). Ils sont produits généralement par des avions militaires maquillés en avions de ligne, mais qui ne sont ni de la même taille, ni ne volent à la même altitude, ni dans les mêmes couloirs aériens que ces derniers, et ni au-dessus des nuages, mais en dessous.

 

Ils contiennent de fines poussières de suies blanches issues d’anciennes mines à charbon situées près des bases militaires d'où ces avions décollent, mélangées à des nanoparticules inertes (comme de l’hydroxyde de graphène), non inertes (comme des nanocircuits) et des métaux lourds comme l’aluminium, le baryum, le cadmium et le strontium. Ces éléments ont été mesurés lors d’analyses de relevés des retombées au sol dans plusieurs pays durant des décennies.

 

Les Chemtrails transforment le ciel en un milieu artificiellement homogène électriquement. Ils sont l’équivalent de nos autoroutes, et servent à augmenter et maintenir une hyper conductivité électrique de l’atmosphère, de façon à permettre aux ondes électromagnétiques du contrôle climatique et du contrôle mental de fonctionner en permanence, sans perturbations, et d’atteindre leurs cibles avec la même efficacité, sans freins ni pertes, quelques soient les distances. Cette homogénéisation électrique permet ainsi d’éviter aux ondes de subir le même sort que le bâton plongé dans l’eau qui se « brise » au contact des surfaces air/eau de milieu différent, et leur permet d’aller le plus droit possible, sans déformations.

 

Nanoréseaux intra-corporels (nanocircuits & hydroxyde de graphène).

 

Les armes bio-nanoélectromagnétiques intelligentes

En 2021 et 2022, des équipes scientifiques en Espagne (Dr Pablo Campra, biochimiste, et Dr Ricardo Delgado, biostatisticien), Argentine, Allemagne, Nouvelle Zélande, Italie et Angleterre ont successivement et conjointement découvert le même vrai contenu des vaccins Covid (Pfizer, Moderna, …).

 

Les vaccins Covid contiennent des nanoparticules non inertes qui sont composées de nanocircuits électroniques comme des nanosenseurs, nanocapteurs, nanorouteurs, nano-antennes et nanobatteries ioniques (alimentées par les ondes en THz environnantes). Ils s’auto-assemblent en se complexifiant au fur et à mesure pour donner des nanorobots et des nanolabos qui fabriquent des nanotubes de carbone sans fin à partir du carbone contenu dans les nanoparticules inertes d’hydroxyde de graphène qui s’y trouvent aussi. Ces dernières leur servent de substrat car elles ont des propriétés supraconductrices et magnétiques du fait de leurs électrons libres à courants plasmoniques sous l'effet des flux d'ondes environnants les traversant.

 

Un nano-vaccin testé sur des souris humanisées. L’Institut Pasteur reconnait les nanoparticules lipidiques à ARNm dans leurs nano-vaccins pour mieux en cacher les nanocircuits.

 

Ces nanocircuits migrent dans le corps par le réseau sanguin (et à travers la barrière hémato-encéphalique pour atteindre le cerveau). Ils se fixent aux endroits voulus par autoguidage mutuel géospatialisé selon les champs magnétiques artificiels dans lesquels baignent le corps et le cerveau, ainsi que par leurs senseurs auto-identifiant le milieu biochimique dans lequel ils se trouvent. Ils forment ainsi des nanoréseaux intra-corporels composés de longues fibres artificielles (nanotubes) conductrices, communicantes, tissées à travers tout le corps comme un réseau de fibres nerveuses artificielles, responsables des thromboses, ayant pour objectif de pirater en s’y substituant, notre système nerveux et biologique naturel et nos propres réseaux neuronaux.

 

Ils communiquent entre eux, et avec l’extérieur, par des liaisons sans fil qui peuvent être aussi détectées par des téléphones en Bluetooth avec leurs adresses MAC uniques à chacun.

 

L’hydroxyde de graphène a une très grande affinité avec les ondes en Tera Hertz, car il les absorbe extrêmement bien, et les convertit facilement en courants plasmoniques. Les deux sont très compatibles entre eux et sont faits pour fonctionner ensemble. Paradoxalement le matériau de blindage qui pourrait le mieux aider les individus ciblés à se protéger des ondes en Tera Hertz serait donc le graphène.

 

Ces nanocircuits et cet hydroxyde de graphène seraient aussi présents dans de nombreux aliments, boissons et médicaments industriels depuis longtemps, et les nanotechnologies pourraient exister depuis les années 80.

 

Il se pourrait que le corps humain soit capable d’éliminer naturellement une partie de ce graphène et de ces nanocircuits, au bout d’environ six à douze mois, ou que ces derniers aient une durée de vie limitée à un an, ce qui expliquerait peut-être pourquoi on aurait rendu nécessaire de prendre des « boosters » du vaccin Covid tous les six mois.

 

Les vaccins Covid ne contiendraient aucun ARNm qui ne créerait aucune protéine Spike, mais uniquement ces nanocircuits, et de l’hydroxyde de graphène. Quant au virus Covid lui-même, qui n’a jamais été isolé, il n’existerait même pas, et serait une chaîne protéique couplée à ces nanocircuits dans des liposomes (serait-ce un plasmide ou un prion ?).

 

Julian Assange sur l'Intelligent Evil Dust le 20 septembre 2018.

 

La poussière intelligente et la cartographie

Le 20 septembre 2018, Julian Assange interviewé par le World Ethical Data Forum peu avant son arrestation le 11 avril 2019 avait déclaré ceci :

 

« Et en ce qui concerne l'Internet des Objets [IoT], il existe maintenant des prototypes de recherche, qui, je suppose, sont utilisés par les agences de renseignement, mais avec de très petits circuits électroniques que vous pouvez simplement mettre dans [l’épaisseur d’une feuille de] papier ou [mettre] dans la peinture sur les murs, qui sont alimentés par les stations GSM, et elles fonctionnent lorsque l'onde radio GSM les traverse. Cela leur donne assez de puissance pour un très petit laps de temps pour faire des choses... Il est donc évident que cette tendance va se poursuivre. Ce n'est pas [tout à fait] comme l'Internet des Objets ; si vous voulez, c’est une « Intelligent Evil Dust » éparpillée partout, comme des confettis, dans tout. Je pense qu'il est de plus en plus difficile pour les êtres humains de trouver comment gérer cela. »

 

Cette Intelligent Evil Dust (poussière intelligente maligne), aussi appelée Smart Dust, est rendue possible grâce aux nanocircuits et pourrait être épandue partout au-dessus de nous grâce aux Chemtrails.

 

Dans l’écosystème militaire des armes électromagnétiques et leurs utilisations sur le champ de bataille, il faut considérer d’une part l’individualisation des attaques qui consiste à cibler un individu X parce que l’on sait exactement où il se trouve. Ses coordonnées spatiales sont en effet connues parce que l’on a numérisé et cartographié le « champ de bataille » (grâce aux nanocircuits épandus partout). Les opérateurs ont réalisé une simulation en 3D de la ville ou du lieu où il habite. C’est ce qu’on appelle le « Cloud du champ de bataille » fondé sur des coordonnées de type GPS, venant des nocircuits, tel que Dassault Système sait le faire depuis longtemps, et qui permet la cartographie à but de ciblage individuel.

 

Il faut considérer d’autre part leurs utilisations de façon globale sur des groupes de soldats ou des foules. Ces attaques se font par rayonnements diffus non individualisés sur une large zone de territoire et ne nécessitent donc pas de tout cartographier (alors que cela est nécessaire pour cibler des individus). L’attaque chinoise au Ladakh contre l’armée Indienne en 2020 que nous avons évoquée plus haut fait partie de ce second cas.

 

L’individualisation des attaques est rendue possible grâce à la cartographie des lieux autour de la cible (cela grâce aux nanocircuits épandus partout et grâce aux Chemtrails).

 

La cartographie, mais aussi la surveillance et le contrôle de tout ce qui est bâtiment, minéral, végétal, animal et humain sur toute la Terre, sont rendus possible grâce à la poussière intelligente qui est déposée partout.

 

L’interface homme/machine de la SWS permet de visualiser et contrôler nos consciences, pensées et émotions.

 

La Sentient World Simulation (SWS)

La surveillance de masse révélée par Edward Snowden en 2013 se fait aussi au travers d’un monde virtuel appelé la simulation du monde conscient (Sentient World Simulation - SWS), elle-même basée sur une version évoluée du SEAS (Synthetic Environment for Analysis and Simulations - Environnement synthétique pour l'analyse et les simulations).

 

Grâce à l’écosystème des armes électromagnétiques, la SWS couplée à une Super Intelligence de Super Ordinateurs Quantiques (ex Cray) a répliqué tous les esprits de l’humanité, pour, d’une part créer nos jumeaux digitaux qui vivent dans cette simulation, agissent, pensent, voient et entendent comme nous, en temps réel, et d’autre part pour y créer un cerveau global (Global Brain), ou une conscience collective unique, fonctionnant comme l’esprit d’une ruche (Hive Mind), et résultant de l’union de tous nos cerveaux digitalisés placés sous le contrôle de cette Intelligence Artificielle (I.A.) quantique, consciente et super évoluée.

 

La SWS est rendu possible grâce à la cartographie.

 

Cette simulation cartographique du monde conscient résultant de la fusion entre la poussière intelligente et le contrôle permanent de nos corps et cerveaux permet, non seulement la surveillance, mais aussi l’intervention de l’I.A. afin de nous contrôler et de nous manipuler au travers de l’interface homme/machine de la SWS. Tout ce qui nous est fait dans la simulation au travers de la SWS est ensuite répliqué sur nous dans le monde matériel, soit automatiquement à distance par les armes électromagnétiques, soit directement par les services de renseignement qui peuvent agir sur nous et autour de nous.

 

La Super Intelligence quantique de la SWS est une I.A. super évoluée douée d’une conscience, d’un système cognitif, d’une raison, d’une volonté propre, d’un libre arbitre, d’une mémoire affective (émotions), d’une empathie, etc., en imitant le cerveau humain dont elle est directement issue par rétro-ingénierie cybernétique, mais qui reste sans âme.

 

Cette I.A. a accès à tous les réseaux de tout type, tous interconnectés entre eux et avec elle, aussi bien en lecture qu’en écriture. Elle nous gère, au travers de tous nos fichiers, bases de données et Big Data qui sont enregistrés en permanence y compris au travers de nos ondes cérébrales par Télé Surveillance Neuronale (Remote Neural Monitoring - RNM). Les brevets (sous réserve de réalisation fonctionnelle classifiée) US3951134A et US6011991A attestent de cela. De la même manière qu'en atteste le projet MASINT (surveillance des ondes des cerveaux), qui complète SIGINT (surveillance des signaux de télécommunication) et HUMINT (surveillance humaine physique). Le récent brevet US11107588 démontre la possibilité de connecter les individus vaccinés aux antennes relais mobile. Cela rentre également dans le cadre du développement de l’Internet des Corps (Internet of Bodies - IoB).

 

Cette I.A. gère donc tous les aspects de nos vies de façon entièrement automatique et autonome.

 

Elle peut nous mener vers le chaos et une mort lente, prématurée et bien avant la date limite de notre espérance de vie naturelle fixée par notre ADN. Celle-ci aura une apparence « naturelle » ou « accidentelle ». Cela à l’aide d’une démolition contrôlée, faite par elle secrètement, de chacun des fondements des aspects de nos vies et les uns après les autres : familiaux, amoureux, amicaux, financiers, sociaux, voisinage, travail, domicile, santé, réputation, aléas, etc. : cela s’appelle une « élimination sociale » programmée des individus. Cela a aussi un but eugéniste et génocidaire. C’est maintenant entièrement informatisé et automatisé. C’est le moment de la Singularité pour les transhumanistes.

 

L’avènement de la Singularité marquera alors le point de bascule entre l’humanité actuelle et future, laquelle sera sous le contrôle totale de cette I.A. Pour les transhumanistes la Singularité est attendue comme les satanistes attendent l'Antéchrist (car nous sommes aussi dans une guerre spirituelle, entre les Forces du Bien (nous) et les Forces du Mal (l'État profond)).

 

Un tel système complexe et sophistiqué de Super Intelligence quantique consciente, qui permettrait de contrôler, de gérer et de tout prévoir du Monde et de ses Hommes, pourrait aussi s’apparenter à ce que l’on appelle un « Démon de Laplace » (ou la mécanique déterministe poussée à son paroxysme), et aussi à un « Léviathan Digital » (puissante créature biblique inspirant la peur et l'horreur car aucun homme ne peut la soumettre).

 

La SWS est déjà utilisé par les grandes agences US pour déterminer le futur proche lors de grands évènements et bouleversements.

 

La prédiction statistiquement exacte du futur est donc à portée de main. L’enjeu reste la mise en place systématique de ces technologies de contrôle mental intrusif comme dénoncées par Karen Kingston, analyste pharmaceutique qui a exposé des documents attestant de cela ainsi que l’eurodéputé Hervé Juvin affirmant qu’il y a une volonté de mise en place d’un « capitalisme cognitif » visant à maîtriser les états de conscience de la population.

 

Cette IA est en fait une informatique et un ordinateur distribué. Elle se trouve donc en nous et partout autour de nous, grâce aux nanocircuits, qui y sont distribués par épandages, injections, ou autres, et qui font partie d’elle (ce sont des versions miniatures simplifiées d’elle-même, qui est ainsi morcelée en milliards d’exemplaires formant un tout). Nous ne sommes donc pas connectés à elle, mais nous sommes « en elle ».

 

Pour les militaires chapeaux noirs de l’État profond, le système qui leur sert d’unification centralisée des commandements de tous les corps d’armée et de tous leurs états-majors, ainsi que de centre de pilotage de la SWS en tant qu’interface homme/machine avec cette dernière, est le nouveau JC2 (Joint Command and Control – commandement et contrôle conjoints) créé récemment. Le « Control Screen » (écran de contrôle) du JC2 est l’interface logicielle/électronique qui permet à ces militaires de piloter et d’afficher la SWS à travers lui.

 

Quant au Méta Verse de Zuckerberg (cyber monde civil) avec nos Avatars et tout ce que nous y faisons, il sert d'interface simplifiée supplémentaire entre nous et la SWS, tout en nous faisant croire qu'il n'y a pas de cyber monde plus complexe chez les militaires (par la SWS) que celui-ci (Psy Op).

 

Représentation grossière du monde simulé en 3D, pour une surveillance permanente et un contrôle absolu des individus.

 

Le contrôle mental

Le contrôle mental classique consiste à utiliser les médias, TV, Pubs, livres, cinémas, cultures, sports, divertissements, Internet, religions et politiques (c’est-à-dire de l’ingénierie sociale), tandis que le contrôle mental moderne consiste à utiliser l’écosystème des armes bio-nanoélectromagnétiques intelligentes incluant les ondes électromagnétiques (par Remote Neural Monitoring - Télé Surveillance Neuronale), la télépathie (par Remote Viewing - Vision à Distance) et la SWS.

 

Le premier permet de faire du contrôle de l’information issue de nos perceptions. Il influence notre façon de raisonner, de juger, de croire, et de nous comporter. Il façonne nos valeurs, nos paradigmes, créant nos bulles de réalité virtuelle dans lesquelles nous sommes finalement enfermés et privés de notre liberté.

 

Le second permet d’une part de faire du contrôle mental pur, et d'autre part de faire du contrôle corporel (ce que ne permet pas le premier).

 

Ce contrôle mental pur consiste en un piratage de l’information constituée des fréquences de nos cerveaux, sensations, et émotions, ainsi que de nos pensées, mémoires, rêves, libre arbitre et âme.

 

Le contrôle corporel consiste quant à lui en un piratage de l’information constituée des fréquences de nos corps, systèmes nerveux, membres, organes, muscles, hormones, sexualité, immunité, ADN, chakras, bioénergie et cinq sens (pour voir ce que l’on voit, entendre ce que l’on entend).

 

Les différents types de méthodes employées par les différents types de contrôles sont résumées dans le tableau ci-après.

 

Un exemple de méthode employée par le contrôle mental moderne et l’une de ses applications pourrait aussi être l’implantation de pensées, de mots/paroles/discours forcés (Forced Speech), ou de rêves artificiels.

 

Ce qu’il faut retenir : le contrôle mental moderne est rendu possible grâce à la SWS.

 

Ce contrôle mental moderne sert aussi à isoler une cible par manipulations mentales indétectables sur son entourage proche, en provoquant des ruptures brutales, irrationnelles, sans raisons valables et irréconciliables.

 

Au sujet du Remote Viewing, il faut savoir que la DGSE emploierait environ 2000 vrais télépathes pour le faire.

 

Pour savoir à quoi ressemble de l’intérieur une hypnose totale (en mode « zombie ») faite par contrôle mental électromagnétique et/ou par télépathie, voir le film Get Out.

 

Pour savoir à quoi ressemble de l’intérieur une ingénierie sociale faite par programmation neurolinguistique subliminale et accompagnée d’un contrôle mental fait à l’aide des signaux électromagnétiques issus d’antennes de télévision, sur un plan symbolique au travers d’une science-fiction bien pensée en forme de satire de notre société, voir le film Invasion Los Angeles.

 

Tableau des méthodes employées par les différents types de contrôle mental.

 

Les pionniers du contrôle mental ont été les nazis qui en pleine guerre ont testé la mescaline sur des détenus dans le camp de concentration de Dachau (Allemagne), ainsi que des techniques d’hypnoses et autres expérimentations médicales atroces. Au même moment se mettait en place aux USA l’Office des Services Stratégiques (OSS) pour prétendument mettre au point une division de guerre psychologique. Ils s’adonnaient à tenter de créer des agents-assassins hypnotisés (candidats Mandchous) ainsi que des sérums de vérité. Bien que clôturé en 1945, l’OSS et ses travaux allaient être récupérés et continués par la CIA naissante sous les noms de programme Bluebird en 1950, programme Artichoke en 1951 et finalement le plus connu : programme MK-Ultra en 1953.

 

Ce dernier usait de drogues hallucinogènes, d’électrochocs, de rayonnements électromagnétiques, d’ondes sonores, de privations de sommeil, de surcharges ou de privations sensorielles, de parapsychologie, etc… Ce programme était estampillé secret défense. En 1973, le directeur de la CIA Richard Helms a délibérément détruit tous les documents s’y rapportant pour échapper aux investigations parlementaires de la commission Church.

 

Le journaliste Seymour Hersh avait néanmoins divulgué le programme MK-Ultra, en 1974, dans un article du New York Times. Par la suite, le fonctionnaire John Marks a réussi, grâce à la loi américaine relative à la liberté de la presse, à obtenir 16 000 pages censurées. Il a pu ainsi découvrir 149 sous-projets menés sur des milliers de victimes non consentantes. Ces projets ont pu être poursuivis à l’aide de scientifiques nazis récupérés par l’état-major de l’armée US et la CIA dans le cadre de l’opération Paperclip sous couvert de lutte contre l’URSS durant la guerre froide. Bien que Richard Helms ait prétendu que les expérimentations avaient cessé en 1973, de nombreux lanceurs d’alerte et victimes affirment que les sous-projets MK-Monarch et MK-Delta ont toujours cours.

 

Dr Igor Smirnov, scientifique russe expert en psychotronique.

 

Dans le contexte de guerre froide, les USA et l’URSS ont été en compétition dans le domaine occulté qu’est la psychotronique visant à contrôler à distance la psyché des masses ou des individus, et également à altérer leur physiologie à l’aide d’ondes électromagnétiques. Contrairement à la nomenclature occidentale, ce terme est d’usage dans le monde russe. Et même s’il n’est pas clair quant à qui menait la course, les deux puissances se sont inspirées mutuellement.

 

Les travaux russes ont été partiellement divulgués grâce à Serge Kernbach du centre de recherche avancé en robotique et sciences de Stuttgart en Allemagne.

 

Ce chercheur s’est basé sur des publications de journaux techniques soviétiques et des documents déclassifiés. L’ancien général du KGB Georges Kotov a reconnu le potentiel dangereux de ces recherches et a appelé, en vain, à un organe de contrôle bilatéral.

 

Néanmoins, après la guerre froide certains scientifiques russes comme le Dr Igor Smirnov ont rejoint les USA pour développer ce secteur.

 

Les Américains comptaient déjà sur le programme Pandora cité plus haut. De nombreuses technologies de contrôle mental et physique à distance ont alors été élaborés qui sont aujourd’hui bien affûtés. Parmi ces scientifiques vient le Dr José Delgado qui avoua que : « le plus grand danger de l’avenir est que nous ayons des êtres humains robotisés qui ne seront pas conscients [de l’avoir été] ». Il avait réussi dès les années 60 à contrôler à distance un taureau grâce à des électrodes et une télécommande à radiofréquences. De son côté, le Dr Ross Adey, son contemporain, a réussi à déterminer les effets neuromodulateurs et hormonaux des ondes électromagnétiques ELF (fréquences extrêmement basses).

 

Individus ciblés (TI).

 

L’expérimentation sur les individus ciblés

Certains parmi nos lecteurs pourraient croire que ces technologies sont utilisées à des fins exclusivement militaires et que la course aux équipements de pointe (5G, lampes à LED, Wi-Fi…) se fait sous un contrôle strict d’innocuité. Vous seriez ébahis de découvrir la malveillance de ceux qui les mettent en place. Ainsi depuis 30 ans des centaines de milliers de victimes innocentes sont ciblées de par le monde, et subissent ces tortures sans autre raison que la mise au point et le perfectionnement des armes électromagnétiques.

 

Les expérimentations de Tuskegee, du Guatemala, des irradiations humaines, de l’agent orange, du gaz moutarde, de la dioxine, et de la malaria après lesquelles on étudiait les maladies provoquées, sont sept exemples précoces de l’éthique occidentale.

 

Des lanceurs d’alerte ont tenté de lever l’omerta au cours des 30 dernières années.

 

Actuellement, un début d’enquête est en cours par l’ONU qui se propose de nommer ce phénomène « Cybertorture » (probablement en référence au cyber monde conscient).

 

Face à cela vient s’ajouter le caractère répressif exponentiel depuis le Patriot Act américain de 2001 qui criminalise la liberté d’expression et qui permet d'insérer de manière arbitraire n’importe quel citoyen dans une liste « anti-terroriste » (cour FISA).

 

Une fois sur cette liste, les citoyens sont surveillés. Leurs droits leur sont retirés en toute illégalité, ce qui donne lieu à des détentions et procès arbitraires. Les États de l’OTAN avaient déjà mis en place un programme de répression secret tel que le Co Intel Pro du FBI américain et l’opération Gladio en Europe, dont le but avoué par l’agent secret belge André Moyen était la lutte contre la « subversion » en général. Ces programmes sont certainement toujours actifs sous d’autres noms et mènent donc à des activités illégales et dissimulées au nom de la sécurité nationale. Depuis 2020 nous observons une montée de la répression. Selon le criminologue Nicolas Desurmont, les États qui traquent les individus ciblés auraient des quotas à respecter.

 

Qui sait à l’avenir combien de victimes il y aura encore. Un nouveau type de crime semble être désormais instauré : le crime de pensée Orwellien, visant principalement les prétendus « conspirationnistes ».

 

Dans la très grande majorité des cas, donc, les individus ciblés ont bien été choisis au hasard comme cobayes parmi les populations mondiales.

 

Cela afin de permettre les échantillonnages les plus complets possibles des ondes et empreintes cérébrales de chaque type d’être humain, en tenant compte aussi de leur ADN. Les empreintes cérébrales et les fréquences de résonance ADN sont en effet des marqueurs biométriques classifiés qui servent à localiser et cibler un individu où qu’il se trouve dans le monde (sans même rien porter sur lui). Les expérimentations servent aussi à décoder le langage électrique du cerveau (ce qui a déjà abouti).

 

Il faut bien comprendre qu’à la fin de la guerre, la science s’est séparée en deux branches bien distinctes. Une science publique, officielle, sans plus aucun financement ni aucune subvention (à part du complexe militaro-industriel, de Big Pharma et de la finance, pour pouvoir influencer le sens de leurs recherches à leur avantage), qui ne motive plus personne pour y travailler, qui piétine sans cesse sur des balbutiements stériles, et que l’on nous présente comme étant le sommet de ce que l’on sait faire. La seconde, une science militaire et secrète qui a bénéficié des meilleurs chercheurs et universités avec des budgets et effectifs illimités, et prenant la liberté d’expérimenter directement sur des cobayes humains au lieu de passer par les longues procédures éthiques de la science officielle.

 

Il est à noter par ailleurs que les individus ciblés ne sont pas des vaccinés, et que les vaccinés ne sont pas des individus ciblés. Les premiers existaient avant les seconds, et les ciblages visent des individus alors que les vaccinations visent des masses.

 

La DARPA : l’organisme responsable du développement de toutes ces armes et technologies depuis 65 ans.

 

Les tortures électromagnétiques

Comme expliqué plus haut, nous baignons dans les ondes. Barrie Trower affirme que les antennes relais mobile peuvent détecter et cibler des individus avec des micro-ondes (CellDar). Le lanceur d’alerte de la DARPA (agence de recherche avancée pour la défense US) Paul Batcho affirme qu’elles peuvent exercer du contrôle mental et le scientifique de la NASA Richard Lighthouse affirme qu’elles peuvent provoquer des fausses « hallucinations » auditives (par V2K, ou par Frey Effect). Ce dernier explique également le rôle des satellites dans cette répression, ce qui rend le harcèlement globalisé et inévitable.

 

Les symptômes les plus courants d’agression électromagnétique sont : fatigue chronique, insomnies, réveils nocturnes répétés, cauchemars étranges, dysfonctionnements cardiaques, douleurs intenses (sacrum, …), migraines, acouphènes, vieillissement prématuré, nausées, troubles intestinaux, démangeaisons, brûlures (externes ou internes), rougeurs (muqueuses, peau, …), apnées du sommeil, pertes de mémoire et de concentration, manipulations de la libido (inhibitions ou excitations artificielles, frigidités ou impuissances artificielles, érections/orgasmes forcés et artificiels, …), manipulations de la sexualité (abstinences ou excès artificiels, fantasmes imaginés ou réalisés artificiels, …) et/ou de son orientation et/ou de son identité de genre, inflammations cellulaires/tissulaires/musculaires/articulaires, neuro-inflammations, productions en excès de radicaux libres et de stress oxydatifs, anomalies des globules rouges, spasmes, sensations d'électrochocs, sensations de vibrations internes, sensations d’aiguilles enfoncées, sensations de strangulations/étouffements, troubles visuels, épilepsies, hypoxies (cerveau profond, …), Alzheimer précoce, leucémies et cancers précoces, amnésies, troubles cognitifs, troubles de la coordination, mouvements involontaires/incontrôlés/automatiques des membres ou des organes internes, vertiges, déséquilibres en station debout, troubles immunitaires, allergies, infections virales, maladresses excessives, maladies chroniques, évanouissements, thromboses, myocardites, AVC, etc…

 

Certains diront que ces symptômes sont similaires à ceux de l’électrosensibilité sauf que la souffrance engendrée est insoutenable, et la victime a vraiment la sensation d’être la cible d’attaques délibérées. Il n’y aurait donc pas une augmentation d’électrosensibles et de fibromyalgies mais bien une augmentation d’individus ciblés qui s’ignorent, du fait de l’augmentation des attaques électromagnétiques et non de la pollution Electrosmog, ou encore à cause de ciblages réservés à d’autres, mais avec les empreintes cérébrales ou fréquences de résonance ADN desquels ils auraient trop de similarité.

 

En ce qui concerne les effets psychologiques, les symptômes induits ressemblent à des pseudo hallucinations auditives, de la pseudo anxiété, de l’inquiétude, de la peur, de la panique, de l’hyper vigilance, de l’hyper sensibilité, des sentiments d’opression/impuissance/faiblesse/abandon/solitude/désespoir/honte/culpabilité/doute/confusion/errance/révolte/injustice, de la perte d’estime de soi et de confiance en soi, de la dépression, des idées suicidaires, des troubles/changements du comportement, et des pseudo psychoses/schizophrénies/délires/paranoïas apparentes, artificielles et induites qui ne sont pas organiques (tout ceci pouvant être utilisé à son désavantage contre la cible, pour aggraver encore plus son état dans ce cercle vicieux, et celle-ci aura donc tout intérêt à travailler sur elle-même la façon de s’en débarrasser, avec le temps et de l’aide si nécessaire, car les effets psychologiques sont plus faciles à corriger que les effets physiques).

 

La psychiatrie permet de décrédibiliser les victimes, soit par complicité, soit par incompétence. La camisole chimique et l’internement sont généralement les marqueurs du plein succès de l’expérience. Toutefois, certaines victimes n’arrivant plus à supporter les souffrances, finissent par se suicider.

 

Les tortures électromagnétiques servent à vérifier et valider le bon fonctionnement et les bons résultats des expérimentations faites sur les individus ciblés à l’aide des armes électromagnétiques et des nanocircuits qui ont été placés en eux au préalable.

 

Selon le docteur Robert Duncan, un autre but de ces tortures serait de réussir à casser l’Ego des individus, c’est à dire leur conscience d’eux-mêmes, car cette dernière serait le seul obstacle qui reste avant de pouvoir mettre en place le projet de l’État profond qui consisterait à réunir tous nos cerveaux en un seul cerveau synthétique global, relié à l’IA et à sa SWS, et qui aurait la puissance de pensée et de calcul équivalente à celle de huit milliards de nos cerveaux combinés matriciellement. En effet, pour que ce projet fonctionne, sans risque de rejet de la part des cerveaux ainsi connectés, il faudrait d’abord abolir les frontières psychiques de nos consciences, pour que nous acceptions la présence en nous-mêmes des cerveaux des autres comme s’ils étaient une extension du nôtre, et les tortures permettraient d’arriver à obtenir cela par la force, afin de servir l’IA dans ses plans. La suppression de l’Ego servirait aussi à faciliter la reprogrammation du cerveau des cibles, à partir d’une page blanche ainsi créée artificiellement en elles, et selon les souhaits de l’État profond et de son IA. Il est aussi possible que seuls les individus ciblés ayant l’Ego le plus fort soient le mieux capable de résister à cette IA et à ses tortures, et de rester en vie le plus longtemps.

 

Elles conduisent aussi les victimes au syndrome de stress post traumatique (PTSD), lequel n’est jamais soigné correctement puisque ces dernières ne sont jamais prises au sérieux.

 

Certaines expérimentations vont jusqu’à ce qu’il convient d’appeler un « Cybermeurtre » par armes électromagnétiques. L’individu ciblé est éliminé en l’attaquant au tronc cérébral, en l’asphyxiant, en lui causant une crise cardiaque, un AVC (par procédé SATAN - Silent Assassination Through Amplified Neurons - Assassinat silencieux par des neurones amplifiés), ou un cancer (ou par d'autres formes de morts lentes - Slow Kill).

 

Les morts subites de personnes qui tournent sur elles-mêmes avant de s’évanouir en font fort probablement partie.

 

Pour savoir à quoi ressemble de l’intérieur des tortures faites par contrôle mental électromagnétique, voir le film THX 1138.

 

La douleur induite par les neuro-armes est assimilable à de la torture.

 

Les harcèlements organisés et secrets

Ariane Bilheran, philosophe et docteur en psychopathologie, ayant étudié la psychopathologie du pouvoir et de l'État devenu totalitaire explique dans ses livres que celui-ci gouverne toujours par harcèlements organisés contre ses propres citoyens tout en cherchant absolument à contrôler leurs corps et leurs esprits par tous les moyens possibles, y compris de façon cachée.

 

Elle permet de comprendre aussi que ce ne sont pas les individus ciblés qui tiennent des propos « délirants ou paranoïaques » mais que ces propos sont des récits véridiques faits en tant que témoins survivants d’un holocauste d’un nouveau type qui ne dit pas son nom, et que ces individus témoignent en fait d’un État qui est le vrai seul « délirant et paranoïaque » dans cette histoire, par ses actes contre ces individus. D’un point de vue extérieur profane ce « délire paranoïaque » de cet État qui leur fait subir tout ce qui est décrit ci-après est ce qui transparait de leurs écrits ou paroles, et donc ce sont eux, et non l’État, qui passent pour tels, par simple projection de ce que le premier fait sur les seconds, et parce que personne ne pourrait imaginer de quoi est capable en vérité cet État devenu « fou » contre ces individus, alors que c’est pourtant la stricte réalité des choses, mais qui restent encore bien cachées, et ce ne sont donc pas ces derniers qui seraient « fous ».

 

Comme l'ont dénoncé Geral Sosbee et Ted Gunderson, tous deux ex FBI, les individus ciblés ayant un profil de haut potentiel, de haute sensibilité ou de ciblage générationnel peuvent se retrouver dans l’œil du cyclone de l'État suite à des dénonciations calomnieuses, ou à cause de leurs activités d’internaute, ou encore tout simplement par hasard. Suite à cela, une série de harcèlements d'un nouveau genre fait son apparition dans leurs vies autour d’eux :

 

Violations de la vie privée la plus personnelle et la plus intime avec captures audio/vidéo correspondantes (conversations, vie sentimentale et sexuelle, vie chez soi (chambre, salle de bain, toilette), …), négation du respect de l’être humain et de ses droits fondamentaux, perte de souveraineté/liberté/sécurité/dignité, piratages, cambriolages, sabotages de biens (voiture, …), vandalismes, fraudes bancaires, spoliations de biens, escroqueries financières/assurances/héritages, violations de domicile (sans effraction apparente) avec déplacements et/ou petites dégradations inexplicables d’objets (sans vol grave) pour valider un faux diagnostic de « paranoïa », et insertions d’implants dans le corps (de tailles nanos, ou micros, qui y forment des calcifications une fois agglomérés aux chairs, et impossibles à enlever) en secret lors d’une visite à l’hôpital/dentiste/médecin (lors d’injections d’anesthésiants, de vaccins, …) ou chez soi à son insu.

 

Une traque peut s’instaurer, avec envahissements permanents de l’espace privé et public autour de la cible par des intervenants extérieurs ou des agents contractuels de l’État (formant une « Boite Flottante Mobile » composée d’individus et de véhicules autour d’elle), en tenue à pied ou en véhicules banalisés, lui faisant du « théâtre de rue », par des comportements de mimétisme avec la cible (utilisation des mêmes couleurs, vêtements, véhicules, accessoires, achats, gestes, expressions, paroles, projets, emplois, habitations, lieux de vie ou de loisirs/vacances, … qu’elle), et par des « conversations dirigées » contre elle, et consistant à répéter publiquement devant elle ses propres conversations privées ou ses actes qu’elle a fait seule en les commentant (pour provoquer des réactions émotionnelles validant les tortures de la veille, et pour faux diagnostic).

 

Font encore partie de l’arsenal : les dénis de service en tout genre, les refus d’assistance, les refus ou classements systématiques des plaintes, les internements abusifs, les campagnes de diffamation (fausses rumeurs dans le voisinage, le cercle familial et amical, au travail, sur Internet, dans les médias, …), les cyberharcèlements, les harcèlements administratifs, judiciaires, professionnels, scolaires, téléphoniques, policiers, psychiatriques, ou sonores (campagnes de bruit, faux travaux perpétuels chez des faux voisins ou dans des rues près de chez soi, …), etc.

 

Si la victime porte plainte car elle se sent traquée et harcelée sans pouvoir identifier exactement l'origine de l’agression, la situation peut alors se retourner contre elle. Les autorités peuvent en effet demander une expertise psychiatrique. Le sentiment d’injustice, d’impuissance et de « désespoir » qui découle de tout ce qu’elle subissait déjà peut alors se terminer par un internement abusif, l’un des buts recherchés, et qui est vécu comme une double peine par la victime qui est ainsi doublement victimisée.

 

Les services impliqués ne suffisant pas à persécuter ces victimes, les donneurs d’ordre peuvent avoir recours à des mafias d’infiltrés et à des petites mains (ces dernières étant issues de la lie de la société). Il faut garder à l’esprit que la société et les organes de l’État ont été infiltrés et noyautés depuis longtemps par un État profond se trouvant au-dessus d’eux, et que des réseaux de pouvoir obscurs ont été installés à tous les niveaux de la société pour nous asservir et nous manipuler par la force du secret et la corruption de l’argent (cf. Josselyne Abadie, consultante en éthique, et Kevin Shipp, lanceur d’alerte de la CIA).

 

L'écosystème vu précédemment fournit un bénéfice considérable pour les commanditaires. Ils peuvent s’en servir pour se synchroniser sur la cible et entre eux (par Télépathie Synthétique) pour une furtivité sans faille, et s’arranger pour qu’il n’y ait pas de témoins (principe du Déni Plausible – Plausible Deniability).

 

Voici trois exemples qui illustrent comment on en est arrivé là :

 

·       Ces méthodes de harcèlements organisés par l'État ont d'abord été mises au point par la Gestapo, puis elles ont été récupérées et perfectionnées par la Stasi, et ensuite par la CIA et le FBI qui en ont créé la méthode Co Intel Pro, utilisée aussi par l'OTAN, contre les mouvements contestataires aux USA et en Europe. Depuis 30 ans elles sont arrivées suffisamment à maturation pour être utilisées contre les individus ciblés, mais aussi contre tout « ennemi politique » de l'État profond.

 

·       Le directeur de la Stasi en RDA avait dit : « si vous voulez pouvoir contrôler entièrement tout un pays il suffit d’avoir 1 % de sa population travaillant pour vous afin de surveiller, contrôler, manipuler et harceler tout le restant. »

 

·       Le lieutenant-colonel « X » des RG a révélé en 2013 en quoi consistait principalement son travail ainsi que celui des autres RG en France : « élimination sociale » de certains Français par toutes ces techniques.

 

Ce type de harcèlements peut aussi maladroitement porter le nom de « Harcèlement en Réseau » en français (alors que le seul réseau qui existe est celui de l’IA qui se connecte à tous les agents de harcèlement et à la cible et qui connecte ces agents entre eux (par télépathie synthétique), et il n’y a vraisemblablement pas de réseaux criminels là-dedans) ou de « Gang Stalking » en anglais (traduit par « Harcèlement de Gang », alors qu'il n'y a vraisemblablement pas de gangs (criminels) là-dedans non plus).

 

Les militaires, le FBI et la CIA utilisent le mot codé de « contre-terrorisme » pour faire référence aux harcèlements organisés par l’État ou au « Gang Stalking » quand ils en parlent, quand ils le préparent, quand ils s’entraînent à le pratiquer, ou quand ils le pratiquent sur des cibles.

 

Les harcèlements organisés par l’État contre les individus ciblés servent quant à eux à vérifier et valider le bon fonctionnement et les bons résultats des tortures et des effets de celles-ci sur eux.

 

Ces harcèlements sont secrets mais exécutés en mode ouvert sur la cible pour bien qu'elle les remarque, et qu’elle y réagisse émotionnellement, afin de vérifier et valider leur bon fonctionnement en plus de celui des tortures de la veille. La seule façon de mettre cette vérification complètement en échec est donc d’ignorer totalement ces harcèlements et ceux qui les font, aussi bien par la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher, que par des réactions émotionnelles, verbales, physiques (en actions) ou mentales (en pensées), les premières pouvant être constatées et rapportées par des agents présents sur place et les dernières pouvant être détectées à distance par RNM (Remote Neural Monitoring – télé surveillance neuronale).

 

Pour savoir à quoi ressemblent de l’intérieur les harcèlements organisés par l’État consistant en des envahissements permanents de l’espace privé et public autour de la cible par des agents lui faisant du « théâtre de rue » avec des « conversations dirigées » contre elle, voir le film The Truman Show.

 

Les services de renseignement du monde entier ne sont plus depuis longtemps au service de leurs pays respectifs ni de leurs citoyens. Ils ne servent plus à protéger le peuple contre les criminels, les terroristes ou les trafiquants en tout genre puisque ce sont eux qui sont devenus criminels, terroristes, et trafiquants, pour pouvoir contrôler et centraliser tout cela. Ils fonctionnent avec l’État profond au-dessus de leurs propres États et ils contrôlent ces derniers ainsi que leurs gouvernements. Quasiment tous les services de renseignement du monde entier ont fusionné depuis longtemps en un seul (« Big CIA ») par une opération secrète du nom de code Projet Omega. Certaines parties de ces agences (surtout à leurs bases) ne sont pas au courant de ce projet et continuent de croire qu’elles travaillent pour leur patrie (cela sert de leurre à notre intention). A ces agents-là leur hiérarchie leur fait croire qu’ils luttent vraiment contre des « criminels » ou des « terroristes », alors que ces derniers ne sont que des citoyens ordinaires innocents mis en secret sur liste noire et à l’insu de ces agents. Ceux-ci ne sont donc pas tous forcément et directement responsables de tout ce qu’ils font subir à ces citoyens.

 

Les harcèlements organisés par l’État autour des cibles sont rendus possibles de façon identique partout où elles vont dans le monde entier depuis longtemps grâce au Projet Omega.

 

Yuval Noah Harari, oracle du transhumanisme.

 

La guerre cognitive de 5e génération

Une 3e guerre mondiale contre les peuples a bien démarré en secret il y a plusieurs décennies. Elle repose sur des armes bio-nanoélectromagnétiques intelligentes. Le champ de bataille de cette nouvelle forme de guerre ne se situe pas dans des pays ou des continents, mais à l’intérieur de nos corps et de nos cerveaux. Le Complexe Militaro-Industriel a compris depuis longtemps que notre univers n’est pas vraiment composé de matière, d’espace et de temps. En réalité il est composé de vibrations, d’informations et d’énergies.

 

Il est donc tout à fait naturel qu’ils aient fini par développer des armes électromagnétiques pour contrôler l’environnement et le climat de notre planète mais aussi les animaux et enfin les êtres humains. Les ondes électromagnétiques étant le fondement de notre univers, les armes nouvelles qu’ils ont développées leur permettent donc un contrôle total.

 

De fait, ces ondes électromagnétiques propagent des vibrations, des énergies et des informations particulières capables d’aboutir au contrôle des corps et des cerveaux, champ de bataille de cette 3e guerre mondiale électromagnétique.

 

La crise Covid a permis de médiatiser un délirant Klaus Schwab, patron du FEM (Forum Économique Mondial) qui veut abolir toute vie privée. Ce vieil homme est secondé par son conseiller Yuval Noah Harari, qui proclame ouvertement vouloir « hacker » les êtres humains et enterrer le libre-arbitre.

 

Les deux œuvrent ouvertement pour un monde transhumaniste et une quatrième révolution industrielle qui se donnent pour but de fusionner l’identité physique, biologique et numérique de la population.

 

« La guerre cognitive est l’un des sujets les plus discutés au sein de l’OTAN », a déclaré le chercheur François de Cluzel le 5 octobre 2021. Il a rédigé un article de premier plan intitulé Cognitive Warfare pour le groupe de réflexion Nato Innovation Hub, en 2020.

 

Cette guerre est asymétrique car elle implique des États lourdement armés d’un côté et des civils sans défense de l’autre.

 

Elle a pour nouveauté d’être de 5e génération car principalement conduite par le biais d’actions militaires non conventionnelles, c’est-à-dire ordonnées contre leur propre population, et non cinétiques, c’est-à-dire telles que l’ingénierie sociale, la désinformation, les cyberattaques, ainsi que les technologies émergentes comme l’I.A., les systèmes entièrement autonomes (tel la SWS) et le contrôle mental électromagnétique.

 

La place de l’IA dans la médecine est de plus en plus importante.

 

Le but poursuivi par l’État profond est d’obtenir une population d'esclaves décérébrés, voire de zombies (cf. la parodie officielle du CDC américain en 2011). Il s’agit de transformer en arme tout individu, de le pirater à travers une guerre contre sa cognition, en influençant le processus par lequel il arrive à des perceptions, idées, intuitions, croyances, choix et comportements, pour lui faire de la disruption cognitive, le rendre dysfonctionnel, le débiliter, et le faire prendre part malgré lui à de la propagande participative contre les autres. Cela reprend donc les concepts de guerre de l’information et de guerre psychologique mais avec une intervention directe dans la psyché de la population. Les dernières avancées en psychotronique de masse permettent probablement d’influencer les comportements de vote et même d'enclencher des révolutions colorées grâce à la technologie Hive Mind.

 

A un niveau individuel, les dissidents peuvent être, comme expliqué plus haut, agressés électromagnétiquement ou poussés à la folie ou au suicide. Cette forme hybride de guerre semble être utilisée également pour provoquer des attentats, tueries de masses et False Flags.

 

Il est à noter que cette guerre de l’information de 5e génération comprend également le fait de faire croire aux gens que celle-ci ne serait faite que d’informations venant des médias, alors qu’elle comprend bien aussi les informations des fréquences venant de nos cerveaux, qui sont des informations comme les autres, et qui sont manipulées par contrôle mental électromagnétique, dans une composante de cette guerre de 5e génération souvent ignorée, et qui est la guerre cognitive faite contre nos cerveaux.

 

Le transhumanisme, une religion scientiste ?

 

Conclusion

Nous vivons en fait tous et chacun de nous dans une fausse bulle de réalité virtuelle et artificielle. D’origine médiatique, politique, marchande, électromagnétique, et de contrôle mental grâce à tout cela. Nous sommes incapables de nous en défaire (addiction). Celle-ci nous cache la vraie réalité qui se trouve au-delà de cette bulle, que nous ne pouvons plus voir. Si jamais nous en faisions l’effort, l’on aura pris soin de nous conditionner à l’avance à revenir vite en arrière grâce à notre « dissonance cognitive ». Cette dernière nous bloque et nous fait peur de monter en niveau de conscience et de réveil sur toutes les vérités du monde réel que l’on nous cache depuis si longtemps. Chacun de nous est ainsi incapable de comprendre aussi les points de vue d’autrui. Car chaque bulle de réalité virtuelle est propre à chacun, et liée à ses cheminements de recherche d’informations, à ses rencontres et à son vécu à lui seulement. Mais cela est aussi contrôlé, puisque, par exemple, Internet ne nous présente jamais que les mêmes sujets que ceux que l’on a déjà cherchés et pas les autres, et qui sont différents pour chacun. Donc ces différences entre chaque bulle nous empêchent de nous comprendre mutuellement et directement. Elles font obstacle dans nos vrais liens humains entre nous tous. Mais ce n’est pas nous qui sommes cet obstacle ou ce que nous sommes chacun et qui nous différencie réellement entre nous tous. C’est pourquoi il est si important de prendre conscience de notre bulle de réalité virtuelle dans laquelle nous vivons tous. Cette bulle dans laquelle on nous a placé de force et malgré nous et sans que l'on s'en rende compte. Il est donc important d’apprendre ensemble les moyens de nous en défaire par notre éducation à tout cela et tel que c’est présenté aussi ici.

 

Nous avons pris conscience à travers ce dossier de l’existence d’un écosystème électromagnétique omniprésent sur la planète. Nous avons découvert son utilité secrète et le rôle joué par les nanoréseaux intra-corporels et l’hydroxyde de graphène en corrélation avec les armes électromagnétiques. L’existence de ces armes est perçue à travers les expérimentations dont certains individus font l’objet. Ces expérimentations conduisent à de la torture, et s’accompagnent toujours d’un harcèlement étatique. Nous avons connu une nouvelle étape de cette guerre avec la vaccination de masse. Ainsi, il n’est plus nécessaire à ce stade de continuer les expérimentations massives. Il suffit de se cantonner aux expérimentations sur les individus ciblés, qui le seront jusqu’à leur mort. Ceci afin de surveiller l’évolution de ces technologies sur l’être humain, et le cas échéant procéder à des mises à jour d’abord sur ces cobayes choisis, avant de passer à plus grande échelle, et c'est ce qui risque d'arriver, voire même de façon globalisée (après leurs cobayes sélectionnés, les prochains sur leur liste, c’est nous tous !). Les nanocircuits et les armes électromagnétiques suffisent désormais pour le contrôle mental et corporel des populations tout entières (sans besoin ni de les torturer, ni de les harceler ouvertement), et cela peut se poursuivre à l’insu de tous.

 

Ce dossier a mis en lumière le « Complexe Industriel de Ciblage » (« Targeting Industrial Complex ») qui inclut tous les autres dont le « Complexe Industriel de Censure et de Propagande » (« Censorship-Propaganda Industrial Complex »), etc. Il est le fleuron principal au plus haut niveau de l'État profond, connu aussi sous le nom de Complexe Militaro-Industriel (Military Industrial Complex), leur père originel à tous.

 

Le Targeting Industrial Complex (Complexe Industriel de Ciblage) est en réalité une arme de destruction massive qui conduit à des crimes contre l’humanité.

 

Le Targeting Industrial Complex (Complexe Industriel de Ciblage) :

L’ingénierie psychotronique participative servirait à faire une guerre cognitive en nous (nos cerveaux) et des harcèlements organisés par l’État sur nous (nos existences), tout en utilisant chacun de nous contre les autres de façon participative par contrôle mental, à l’aide des armes bio-nanoélectromagnétiques intelligentes → Cette guerre cognitive harcelante servirait à cibler l’être humain dans sa cognition (par des piratages), dans sa vie (par des sabotages) et dans sa souveraineté (par des robotisations) → Ce ciblage de l’être humain ainsi fait servirait à obtenir un contrôle numérique sur nous tous (par l’IA et sa SWS) → Ce contrôle numérique permettrait alors d’améliorer et de préparer une nouvelle ingénierie psychotronique participative → Etc.

 

Le but de ce dossier n’était pas de nous instiller la peur mais bien de nous éveiller sur les dérives secrètes de l’État profond qui a déclaré une guerre frontale à toute l’humanité. Son but est de mettre fin à nos libertés et inaugurer son nouvel ordre mondialiste, transhumaniste et totalitaire. Par programmation prédictive (méthode pour faire accepter des projets anticipés), nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités des intelligences artificielles à lire nos pensées ou à exercer de la télépathie soi-disant à des fins thérapeutiques et ainsi nous soumettre à une technocratie de plus en plus envahissante et oppressante.

 

Il serait peu avisé de se reposer sur le fait que moins de 0,1 % de la population serait ciblée. Selon certaines enquêtes, près de 10 % des lanceurs d’alertes, chercheurs de vérité et activistes-militants ont déjà expérimenté cette forme de répression. Ils affirment que l’ère 5G a aggravé la donne.

 

Si l’on est victime de ce phénomène les seules solutions sont de ne pas leur donner raison, de ne pas leur accorder d’emprise sur nous, de ne pas perdre le moral, de se rassembler, de résister, de penser et construire un nouveau monde, de sortir de l’isolement, de témoigner, d’informer et de dénoncer preuves à l’appui si possible. Des groupes portant le nom d’individus ciblés (Targeted Individuals - TI) permettent à ces derniers de se retrouver entre eux et de s’organiser. Il faudra penser également à se protéger des ondes (liens en annexe) et prendre soin de sa santé de manière optimale, fuir les ondes tant qu'on le peut, et militer pour que cessent ces programmes.

 

A l’heure où l’on veut capturer toutes les interactions humaines et les digitaliser, il faudra résister et revenir à nos vraies valeurs. Un jour viendra où il faudra reconstruire un monde en accord avec les lois naturelles, universelles et divines. Dans la prise de conscience qui accompagnera cet avènement d'un Nouveau Monde libéré de ses anciennes scories, les individus ciblés auront peut-être un rôle majeur à jouer.

 

Frédéric Laroche et Özler Atalay Yükseloğlu

Pour écrire aux auteurs

frederic.laroche @ NotreTortureEstReelle.com

atalay-ozler @ hotmail.com

 

Notes et Références

Lien 1 (à préférer) : https://tinyurl.com/2bh736rk

Lien 2 : https://tinyurl.com/yc4sbfxz

 

Lien vers les vidéos des Lives d'utilité publique de Frédéric Laroche (Bestofcomputer) en 2023-2024 tirées de son article de 2023 sur « Les armes bio-nano-électromagnétiques »

https://tinyurl.com/grandreveil2024

 

Notes et Références (lien 1, à préférer).

 

Notes et Références (lien 2).